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Comité de défense et d'animation du quartier de Magonty

 

 

    La PIGNE au NET

 

N° 26 - Janvier-février 2006

 

La Pigne au Net est le journal électronique du quartier de Magonty. Sa page est ouverte à tous les adhérents du comité de quartier qui souhaitent s'exprimer sur tel ou tel problème intéressant le quartier ou simplement faire partager leur passion pour leur violon d'Ingres.

Le contenu de la Pigne au Net respecte la charte de la communication du comité de quartier de Magonty.

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Adhésions

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Pensez également à nous communiquer les courriels des personnes susceptibles d'être intéressées par la diffusion de nos messages : cela n'engage en rien, c'est totalement gratuit et confidentiel.

Assemblées générales

Assemblée générale extraordinaire

Le 28 janvier, les adhérents étaient conviés à assister à une assemblée générale extraordinaire  justifiée par la modification des statuts.

La première modification concernait le nom de l'association dont le changement en Comité de défense et d'animation du quartier de Magonty à la place de Syndicat de défense des intérêts des habitants du quartier de Magonty a été adopté à une très large majorité par les adhérents. La seconde modification concerne l'introduction d'un règlement intérieur permettant de donner plus de souplesse au fonctionnement de l'association sans recourir à des modifications dans les statuts et sans dénaturer son action : elle a également été adoptée à une très large majorité. Les nouveaux statuts et le règlement intérieur sont consultables sur le site.

 

Assemblée générale ordinaire

Après l'exposé du rapport d'activités et du bilan financier, adoptés à l'unanimité, les responsables des commissions Voirie, Animation, Jeunes, Cadre de vie et Communication ont fait un point sur les actions menées en 2005. Les douze candidats au conseil d'administration ont ensuite été élus à l'unanimité.

Enfin, les responsables des clubs Initiation à la dégustation  (C. I. D.) et Camélias (seniors) ont rapidement présenté leur bilan de l'année qui est légèrement excédentaire sur le plan financier.

Compte-rendu du débat avec les élus

Ont participé aux débats : Jean-Jacques Benoît, conseiller général, Dominique Dumont, conseillère municipale déléguée à l'environnement, urbanisme, Maxime Moulinier, conseiller municipal délégué à la voirie, assainissement, Gérard Dubos, conseiller municipal délégué à la jeunesse, Claudine Jousse conseillère municipale déléguée à l'animation des quartier et Daniel Poumey, conseiller municipal.

Le comité de quartier de Magonty avait préparé un certain nombre de questions qui ont été adressées aux élus avant l'assemblée générale.

1. Questions relatives à la sécurité et à la voirie

Question 1 : L’aménagement de l’avenue du Port Aérien a été prévu au budget 2006 de la commune : quand les travaux commenceront-ils,  correspondent-ils au projet du quartier,   y aura-t-il concertation avec le syndicat de quartier avant les travaux ?

Maxime Moulinier, conseiller municipal délégué à la voirie, confirme qu’une première tranche de travaux est inscrite au budget 2006 pour un montant de 200 000 €, mais que le dossier est actuellement dans les services techniques de la CUB. Il n'est pas possible aujourd'hui de savoir ce qui sera fait, mais, en tout état de cause, le projet sera soumis à la concertation habituelle avant le début des travaux qui seront entrepris en 2006..

Question 2. Le comité de quartier a soumis à la mairie un projet de sécurisation de carrefour piste cyclable-rue des Bouvreuils qui consistait simplement à la mise en place d’une barrière de bois obligeant les cyclistes à mettre pied à terre (courrier SQ-2006-03 du 5 avril 2005). Aujourd’hui nous n’avons aucune réponse. Qu’en est-il ?

Le public a été très surpris d'apprendre que ce dossier n'avait pas été pris en compte par la ville, car le syndicat de quartier aurait dû également transmettre sa demande au Conseil général, la sécurité de la piste cyclable étant de la compétence du département !

Question 3.         Notre assemblée générale 2005 a longuement débattu de la sécurisation et des excès de vitesse dans le quartier. Le journal Sud-Ouest en est le témoin (Magonty contre les autos). Rappelons qu’il y a eu un accident mortel à l’arrêt du bus Fauvettes. Pour palier ce problème le syndicat de quartier a déposé un projet relatif à la sécurisation de la rue de la Poudrière (courrier SQM-2005-024 du 26 septembre 2005). À ce jour, nous n’avons aucune réponse concrète.

Maxime Moulinier répond que le Président de la CUB est sensibilisé par le problème de la sécurisation de la rue de la Poudrière qui est à l'étude à la CUB.

Question 4. Aménagement du Carrefour du Pacha : la route nationale 250 entrera dans le domaine public (CUB ou département) en 2007. Dans ces conditions, l’aménagement du carrefour pourra-t-il être envisagé et dans quel délai ?

Jean-Jacques Benoît, conseiller général, rappelle que l'aménagement de ce secteur est à l'ordre du jour depuis longtemps et qu'il a été envisagé un double giratoire pour régler le problème de la sortie de centre commercial de Gazinet. Malheureusement, ce carrefour dépend toujours de l'État qui ne le considère pas comme prioritaire en raison du faible nombre d’accidents corporels enregistré ces dernières années. Le devenir de cette portion de la RN 250 n'est pas encore fixé, le Conseil Général n’ayant toujours pas donné son accord pour l’intégrer dans la voirie départementale.

Question relative au cadre de vie

Question 5.   Antenne de la rue du Transvaal : la ville prendra-t-elle en compte notre demande de non renouvellement du bail accordé à l’opérateur Bouygues Telecom fin 2006 (SQM-2006-02 du 4 janvier 2006) ?

Dominique Dumont répond que le syndicat de quartier a été mal informé et que la ville a signé avec Bouygues Telecom un bail de dix ans et non de trois ans.

Rappelons que le syndicat de quartier avait demandé une audience au Maire qui a eu lieu le 1er juillet 2004 (voir Magonty Info Express du 12 juillet 2004) au cours de laquelle Pierre Auger, Maire de Pessac, a parlé d'un bail de trois ans qui ne serait pas systématiquement renouvelé, ainsi qu'il l'a confirmé dans un courrier adressé au Syndicat de quartier de Magonty le 26 juillet 2004. Suite à cette audience, le Syndicat de quartier a demandé d’associer le renouvellement du bail accordé à Bouygues Telecom au déplacement de l’antenne  vers un lieu situé dans la forêt du Bourgailh, isolé des habitations (voir lettre référencée SQM-2006-02 du 4 janvier 2006).

Questions diverses

Question 6. Gestion des salles municipales. Le syndicat et les associations du quartier éprouvent de très grandes difficultés à organiser des animations en raison du manque de souplesse du système de gestion des salles municipales. Serait-il possible de l’assouplir ? Le quartier dispose avec Romainville d’un potentiel de salles intéressant. N’est-il pas possible de mettre occasionnellement cette installation à la disposition des associations nées à Magonty pour qu’elles puissent s’exprimer sur leur quartier ?

Les élus répondent que la réservation des salles se fait un an à l'avance, ce qui permet de garantir aux associations leur disponibilité. Le comité de quartier regrette que ces créneaux soient systématiquement réservés par des associations qui n'en profitent pas toutes régulièrement et demande de pouvoir négocier avec les représentants d'associations l'occupation de la salle dans les créneaux vacants, la mairie restant naturellement gestionnaire des salles.

Gérard Dubos expose le problème de Romainville qui est affecté à une population très jeunes et nécessite par conséquent la mise en place de structures adaptées incompatibles avec un usage plus général. Toutefois, il reconnaît que la salle de sport devrait pouvoir être mise exceptionnellement à disposition des associations, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui.

Question 7. P.L.U. : certains habitants s’estiment lésés par le zonage décidé sans concertation par la ville. Quelles sont les raisons de cette décision ?

Dominique Dumont répond que la concertation a bien fonctionné dans les premières étapes de la démarche et reconnaît que, pour mettre sur pied le zonage, les techniciens ont appliqué les directives qui leur avaient été fournies à partir des grandes orientations adoptées dans la première phase. Ainsi, le classement en zone naturelle de certaines propriétés est-il la conséquence du choix de la ville et de la CUB de stopper l'urbanisation extra-rocade pour préserver de grands espaces verts inconstructibles.

Exposé de Dominique Dumont sur l'Écosite du Bourgailh

Le diaporama de l'exposé sur l'Écosite du Bourgailh est consultable sur le site.

L’assemblée générale s'est achevée par l'apéritif traditionnel, en présence des élus et de Pierre Auger, Maire de Pessac, qui n’a pu se libérer qu’en fin de matinée.

Le nouveau bureau

Suite à l'assemblée générale du 28 janvier, les conseillers élus se sont réunis pour désigner leur bureau. Un seul candidat se présentait au poste de président : Serge Degueil est le nouveau président, Marie-Claude Charrier, présidente sortante, n'ayant pas sollicité le renouvellement de son mandat ; elle reste cependant membre du conseil d'administration. La composition du bureau est consultable sur le site.

Les animations

Exposition artistique

L'exposition artistique traditionnelle de fin d'année s'est déroulée le samedi 3 décembre 2005 à la maison de quartier. De nombreux Magontins sont venus admirer les œuvres des artistes du quartier et environnants.

Cette année, les exposants étaient :

 

Association Carré d'arts

Peintures, aquarelles

Mme AVILA

Tableaux incrustés de perles

Mme LARTIGAU

Patchwork - Peinture

Mme LANA

Peinture

Mme BARRÈRE

Aquarelles

M. CHORT

Sculpture

Mme GRAMOND

Peinture

Mme NATHAN-HUDSON

Artisanat

sans oublier Mme Garrigues qui a proposé les paniers de fruits confits réalisés par les pensionnaires du Foyer de Monclar d'Agenais (47380).

L'album photos de la manifestation est consultable sur le site.

La manifestation s'est achevée par un vin d'honneur en présence de Pierre Auger, Maire de Pessac, de Danielle Le Roy, adjointe au Maire déléguée à la culture, Françoise Létant-Chachereau, conseillère municipale déléguée aux arts plastiques.

 

Vandalisme à la maison de quartier

Dimanche matin 5 février,  aux alentours de 9h,  le comité de quartier est averti par un habitant de dégradations à la maison de quartier pendant la nuit de samedi à dimanche.

La police de Pessac est immédiatement prévenue. Elle diligente une patrouille  et contacte la mairie de Pessac

A  9h30 la police fait un premier constat en présence de Liliane Payen correspondante de la maison de quartier et Serge Degueil président du comité de  Quartier  :  chaises cassées,  tables démontées,  plusieurs vitres

cassées à l’aide de l’extincteur dans la grande salle, robinet et miroir cassés dans les toilettes, réfrigérateur renversé dans la cuisine, extincteur hors d’usage.

Il n’y a pas eu d’effraction ce qui laisse à penser qu’une porte était restée ouverte ou que les vandales possédaient une clé. Après enquête du comité de quartier, il semblerait que les derniers utilisateurs aient vérifié les fermetures à leur départ. C’est la deuxième  effraction de la maison de quartier depuis la perte d’un jeu de clé par un des utilisateurs.

A 15h30 une équipe de la police de Bordeaux est venue faire une enquête supplémentaire et a effectuée des prélèvements en présence de Liliane Payen et de Daniel Barrère.

Par la suite la mairie remettait de l’ordre pour que lundi matin la maison de quartier soit à nouveau opérationnelle .

Signalons que des faits analogues se sont produits lundi 6 février à Talence où une salle mise à la disposition des associations par la ville a été détruite par un incendie criminel (voir l'article de Sud-Ouest).

Les noms de lieux du quartier

Allée de La Pérouse

 

Jean-François de Galaup de La Pérouse (ou Lapérouse), est né à Albi le 23 août 1741. Il devient garde marine à Brest à 15 ans. À 22 ans, il s'engage dans le conflit contre l'Angleterre, lors la guerre de 7 ans, à propos du Canada (1757-1763). Il est promu enseigne de vaisseau en 1764. Son expérience de l'Outremer se confirme dans les années 1772-1778 alors qu'il sert d'abord aux Antilles puis dans l'océan Indien où. ayant obtenu en 1773 son premier commandement à la mer, il se signale en sauvant le comptoir de Mahé assiégé par un prince local. Promu lieutenant de vaisseau, il reçoit la croix de Saint-Louis en 1778. Il s'illustre alors dans la baie d'Hudson pendant la guerre d'indépendance des Etats-Unis (1778-1782).

En 1785, il est nommé capitaine de vaisseau à l'âge de 40 ans. Louis XVI lui confie alors une expédition autour du monde une destinée à compléter les récentes découvertes de Cook. Les objectifs en étaient multiples, géographiques, scientifiques, économiques, mais aussi politiques avec l'établissement ultérieur de bases françaises au niveau de l'Alaska, des Philippines et de la presqu'île du Kamchatka.

Deux navires, la Boussole et l’Astrolabe partent de Brest le 1er août 1785 pour un périple estimé à trois ans. Les résultats de l'expédition furent connus à chaque escale. Le 6 novembre il parvient au Brésil puis le 24 février 1786 au Chili et ensuite à l'île de Pâques, puis Hawaï le 30 mai 1786. Entre-temps, une reconnaissance des côtes du Canada et de 1’î1e de Vancouver en juillet 1786 a été marquée par un incident de mer tragique et la perte de 22 marins dans la baie de Lituya. Le 28 mars 1787 commence l'exploration de la côte asiatique par Canton, Formose et le Japon. Barthélémy de Lesseps, oncle du constructeur du Canal de Suez , interprète de russe débarquant à Pétropavlosk au Kamchatka quitte l'expédition pour ramener par voie de terre les documents de la seconde partie du voyage, il traverse toute la Sibérie.

Les dernières nouvelles parvenues, servant à orienter les recherches, furent confiées aux anglais à Botany Bay (Australie) au début de 1788. Il est cependant prouvé aujourd'hui que La Pérouse fut un des découvreurs de la côte orientale de Nouvelle Calédonie, avant de voguer vers son tragique destin à Vanikoro. Le 10 Mars 1788, à son départ d'Australie, commence le mystère La Pérouse qui durera quarante ans. Sans nouvelle de lui à la mi-1789, on commence à s'inquiéter à Versailles. L'expédition est déclarée officiellement perdue le 14 février 1791.

Allée de La Bourdonnais

 

Bertrand François Mahé, comte de La Bourdonnais est né à Saint-Malo le 11 février 1699 et mort à Paris le 10 novembre 1753.

Marin français, il s'illustra dans divers conflits menés contre les anglais dans l'océan Indien. Notamment en Inde la prise de Mahé ou en septembre 1747 celle de Madras pratiquement sans un coup de feu. Après avoir délivré Mahé, il vint au secours de Dupleix bloqué à Pondichéry.

La Bourdonnais, n'ayant pas reçu de France les renforts attendus, prit la mer avec une flottille de la Compagnie et, avec de faibles ressources, il battit la flotte de lord Peyton à la hauteur de Negapatnam.

Arrivé à Pondichéry, il se trouva en opposition de vues avec Dupleix. Il mit ensuite le siège devant Madras qui capitula le 24 septembre 1746. Ce coup d'éclat lui vaudra l'inimitié de Joseph François Dupleix qui mènera La Bourdonnais à la Bastille.

Gouverneur des îles de France (Île Maurice) et Bourbon (1735-1745), il contribuera beaucoup à leur développement tant militaire qu'économique (culture du manioc et de la canne à sucre). Il fera aménager le port de Saint-Denis et créera Saint-Louis.

 

Allée de la Louisiane

Devenu territoire américain en 1803, vendue par Napoléon, la Louisiane a fêté son bicentenaire en 2003.

Ses origines multiples lui confèrent un caractère original et cosmopolite. Berceau du Jazz et du célèbre carnaval, la Nouvelle-Orléans ne ressemble à aucune autre ville des Etats-Unis. Ville du Sud à l'ambiance décontractée, au passé historique important, la Nouvelle-Orléans offre aux visiteurs une petite touche française de par son architecture unique aux Etats-Unis.

Rue du Merle

Le genre merle (turdus) comprend 280 espèces répandues sur tout le globe. Plusieurs se trouvent en France. Le plus commun (turdus merula), de l’Europe et de l’Asie occidentale, hiverne dans le nord de l’Afrique ; il est d’un beau noir brillant avec le bec jaune, les femelles sont brunes. Le merle à collier (turdus torquatus), brun foncé avec la poitrine blanche, est commun dans les Alpes.

Larousse du XXe siècle

 

Rue du Général de Monsabert

Fils d'officier, Joseph de Goislard de Monsabert est né le 30 septembre 1887 à Libourne. Témoignant d'une solide vocation militaire, il est admis à l'École spéciale militaire de Saint-Cyr en octobre 1907.

Il a fait une grande partie de sa carrière militaire en Afrique du Nord (Maroc, Algérie, Tunisie).

Il reçoit ses étoiles de général de brigade en août 1941 et se donne pour mission de maintenir en forme l'Armée d'Afrique. Au moment du débarquement allié en Afrique du Nord, le 8 novembre 1942, il prépare l'arrivée du général Giraud et son atterrissage à Blida.

Déchu de la nationalité française par Vichy, le général de Monsabert commande le Corps Franc d'Afrique, puis les éléments de réserve du 19e corps d'armée pendant la campagne de Tunisie.

En décembre 1943, au sein du corps Expéditionnaire français du général Juin, le général de Monsabert débarque en Italie à la tête de la Division. Fin décembre, la 3e DIA relève la 43e Division US et prend position dans les Abruzzes où elle est rapidement engagée dans les durs combats de l'hiver. La Division remporte ses premiers succès à Monna Casale, Acquafondata et au Belvédère en janvier 1944.

Le 12 mai 1944, sur le Garigliano, la division du général de Monsabert emporte Castelforte, ouvrant la porte de Rome aux Alliés. Le 3 juillet, Sienne tombe à son tour entre les mains de la 3e DIA. Rassemblée à Tarente, au sein de l'Armée B du général de Lattre de Tassigny, la 3e DIA embarque le 16 août pour la France où elle débarque près de Toulon qu'elle libère le 21 août avant Marseille le 28, faisant 10 000 prisonniers allemands. Le général de Monsabert est alors fait citoyen d'honneur de la cité phocéenne.

Nommé commandant du 2e corps d'armée de la 1ère Armée française le 31 août 1944 avec le grade de général de corps d'armée, il quitte la 3e DIA et participe activement à la libération de Saint-Etienne, Lyon, Mâcon, Chalon, Autun et Dijon avant de prendre part aux campagnes des Vosges et d'Alsace et à la défense de Strasbourg. Franchissant le Rhin, le général de Monsabert termine la guerre en vainqueur à Stuttgart.

Nommé en juillet 1945 Commandant des Forces Françaises en Allemagne, il est élevé à la dignité de Grand Croix de la Légion d'Honneur et décoré de la Médaille Militaire.

Atteint par la limite d'âge, il quitte l'Armée en 1946 avec le grade de général d'armée et se consacre à l'écriture, publiant notamment en 1950, Il faut refaire l'Armée française.

Il est élu député RPF des Pyrénées-Atlantiques (1951-1955).

Joseph de Goislard de Monsabert est décédé le 13 juin 1981 à Dax. Il a été inhumé à Bordeaux.

Nouvelles du site de la Fédération

Forum : le forum permettant aux visiteurs du site de s'exprimer sur un sujet touchant à la vie de Pessac est en place sur le site de la Fédération. Les thèmes qui sont abordés sont les suivants : Le PLU, la sécurité, les transports, les loisirs, l'amélioration du site, ...

Pessac : deux nouvelles pages permettent de mieux connaître Pessac :

- le stade nautique

- les villes jumelées à Pessac : Burgos (Espagne), Galati (Roumanie), Göppingen (Allemagne)

Office socio-culturel : le programme des spectacles proposés par l'Office socio culturel de Pessac est consultable sur le site.

N'oubliez pas de consulter régulièrement la table des mises à jour du site.

 

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