Les Brèves de Magonty
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Sommaire Voirie - urbanisme Projet de lotissement de l'avenue de Lattre de Tassigny Aménagement de l'avenue du Port Aérien Aménagement de la rue de la Poudrière Limitation du tonnage à 3,5 tonnes La délinquance Alarme à la maison de quartier Club Seniors L'ADSL dans le quartier Transports en commun Exposition artisanale |
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Voirie - urbanisme Projet de lotissement de l'avenue de Lattre de Tassigny La ville a organisé une réunion de concertation le 5 décembre 2007 pour présenter un projet de lotissement de 19 lots au n° 84 de l'avenue du Général de Lattre de Tassigny. Cette réunion était présidée par Patrice Verdon, adjoint au maire délégué à l'urbanisme, en présence, entre autres, de Claudine Jousse et Gérard Dubos, élus locaux. La construction sur les terrains d'une surface moyenne de 700 m² sera libre. Le terrain concerné se trouve en bordure du Bois des Sources du Peugue. Étant donné le faible nombre de riverains concernés, le projet n'a rencontré aucune opposition. Gérard Dubos a attiré l'attention sur les problèmes que ne manquera pas de soulever l'accès au lotissement depuis l'avenue de Lattre de Tassigny. Y.S. Aménagement de l'avenue du Port Aérien Le projet de sécurisation de l'avenue du Port Aérien a fait l'objet d'une dernière réunion en mairie le 29 novembre 2007. Dans sa proposition, la CUB est restée sur son projet initial qui pourtant avez été refusé par les riverains lors de la réunion du… et ceci sans discussion valablement argumentée vis-à-vis du projet élaboré par le comité de quartier en concertation avec les riverains de l'avenue (pour voir le rapport d'étude, cliquer ici). Dans un premier temps, l'aménagement se limitera : - à la mise en place de ralentisseurs tous les 150 mètres destinés à imposer une vitesse moyenne de 30 km/h sur toute la longueur de la voie ; - à la réalisation d'un bas-côté engravée le long de l'avenue destinée aux piétons ; - la sécurisation du débouché de l'avenue du Port Aérien sur l'avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny. Le comité de quartier a fait part de ses regrets quant à l'abandon d'un passage pour piétons séparé de la voie par une zone de stationnement : la sécurité des piétons, notamment des travailleurs du Centre d'Aide par le Travail (C.A.T.) ne sera pas vraiment assurée, car il sera difficile d'empêcher les véhicules de stationner sur ce bas-côté. Y.S. |
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Aménagement de la rue de la Poudrière Une réunion de présentation du projet d'aménagement sécuritaire de la rue de la Poudrière entre l'Orée du Bois et le giratoire de Magonty s'est tenue en mairie le 20 décembre 2007 sous la direction de Maxime Moulinier, en présence des représentants de la CUB, de Claudine Jousse, Dominique Dumont et Gérard Dubos, élus locaux et de nombreux riverains. Rappelons que le comité de quartier avait adressé à la ville des propositions d'aménagement réalisées en concertation avec les riverains qui concernaient les intersection de la rue de la Poudrière et de la rue des Bouvreuils (pour voir le rapport d'étude, cliquer ici). Non seulement le projet présenté reprend les propositions du comité de quartier, mais il va plus loin avec l'aménagement des intersections avec l'allée des Bengalis et l'allée des Passerines (accès au Club des Princes 2). C’est avec beaucoup de satisfactions que nous avons donné notre accord sur ce projet Y.S. |
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Limitation du tonnage à 3,5 tonnes Suite à une demande du syndicat de quartier de Toctoucau, la ville a décidé de limiter la circulation des poids lourds dans le quartier. Cette demande est justifiée par l'interdiction par la ville de Saint-Jean d'Illac d'emprunter le chemin du Blayais qui a pour conséquence de reporter sur nos quartiers la circulation sur des voies non prévues pour supporter des gros tonnages. En conséquence, toutes les voies situées à l'ouest de la rue de la Poudrière sont interdites à la circulation des véhicules de plus de 3,5 tonnes : il s'agit des rues du Blayais, Fougnet, du Général de Monsabert, de la Princesse et de Romainville. Le comité de quartier est favorable à cette initiative qui va au delà de ce qu'il avait proposé en 2004 et qui n'avait été que partiellement réalisé, puisque la limitation ne concernait que le tronçon de la rue de la Princesse compris entre la rue de la Poudrière et l'avenue de Beutre. Dans un courrier adressé à la mairie le 6 décembre, nous émettons des réserves sur l'efficacité d'une telle mesure, car l'expérience montre qu'elle est peu respectée, faute de contrôles dissuasifs. Y.S. La délinquance Après la réunion du 19 septembre, la Mairie organisait le 20 décembre à la maison de quartier, une nouvelle réunion pour faire le point sur la délinquance à Magonty. Cette réunion rassemblait, côté habitants du quartier, un représentant des commerçants, des deux fédérations des parents d’élèves, des représentants du Club des Princes 1 et le Comité de quartier. Côté pouvoirs publics étaient présents Monsieur Guillemoteau, l’élu chargé de la sécurité, la police municipale, le CSLPD, le service Jeunesse et Madame le Commandant Martinet, représentant la police nationale. Après un rapide tour de table la police faisait un point statistique sur l’évolution du problème. Sur l’année 2007, 67 faits mineurs ont été recensés, soit une baisse de 21 % par rapport à l’an dernier. Par contre, il est à noter l’apparition de faits plus graves (4 sur 11 mois). Depuis la réunion de septembre, la police a augmenté sa présence visible ou discrète et des procès verbaux ont été dressés pour nuisances sonores. Devant l'incrédulité des participants sur l’évolution des incivilités, la représentante de la police explique qu’elle ne peut se baser que sur des statistiques et demande aux gens d’appeler systématiquement le 17 même si les incidents semblent parfois mineurs. Ceci lui donnera plus de moyens pour agir. Le Comité de Quartier indique qu’il a récemment envoyé à la police, avec copie à la Mairie, un inventaire assez complet des faits qui se sont produits depuis un an et demi et qui montre une progression régulière (du feu de poubelle à l’incendie d’un véhicule). La Mairie fait remarquer que des incidents semblables sont journaliers dans certains quartiers de Pessac et que les habitants de Magonty, quartier renommé calme, sont peut-être plus sensibles à ces phénomènes. Remarque diversement appréciée dans l’assistance. Pour notre part, nous restons vigilants et nous vous demandons de prévenir systématiquement la police quel que soit l’importance des faits. S.D. Alarme à la maison de quartier À la suite du nombre important d'effractions constaté à la maison de quartier, la ville a décidé d'équiper cette dernière d'un système d'alarme relié au PC d'une société de surveillance. Les associations qui utilisent la maison de quartier le soir ou le week-end sont informées des règles à suivre pour éviter de déclencher intempestivement le système d'alarme. Club Seniors Le club Seniors a fait l'acquisition d'un ordinateur. Par ailleurs, la ville a équipé la maison de quartier d'une LiveBox qui permet ainsi une liaison avec le réseau Internet. Cet équipement doit permettre de créer un club informatique. À cet effet, les personnes susceptibles d'être intéressées peuvent s'adresser à Yves Schmidt, en précisant leurs coordonnées et leur souhait. Les cours commenceront dans le courant du mois de janvier. L'ADSL dans le quartier Dans le précédent numéro de la Pigne au Net, nous avons mis en évidence les disparités qui existaient dans le quartier en matière de liaison haut-débit. Le 19 novembre 2007, le Maire de Pessac a adressé un courrier à France Télécom pour rappeler à l'opérateur ses engagements, lui signaler que beaucoup de Pessacais ne bénéficiaient pas d'accès performants à Internet et lui demander comment il envisage de répondre à ce problème et si de nouvelles solutions techniques permettront rapidement de satisfaire les besoins de (ses) concitoyens. Transports en commun En novembre, le comité de quartier a décidé le lancement d'une grande enquête sur les habitudes des Magontins en matière de transports en commun : des questionnaires ont donc été distribués dans toutes les boîtes à lettres du quartier. Nous avons recueilli 121 réponses sur les 1700 foyers que compte le quartier, soit un pourcentage de 7 % de la population. Cet échantillonnage est trop faible pour refléter la réalité, mais il permet de donner certaines tendances. Le rapport de dépouillement est en cours. Nous pouvons déjà donner les éléments les plus marquants qui en émergent : 1. Desserte du quartier. Le quartier est mal desservi par les bus : une majorité d’habitants réside à plus de 200 mètres d’un arrêt de bus et un nombre non négligeable réside à plus de 600 mètres, dont certains à plus de 2 km. 2. Utilisation des transports en commun. Il y a peu d’utilisateurs quotidiens, à part les lycéens et collégiens : la voiture reste le moyen de déplacement préféré des habitants du quartier. De nombreux utilisateurs occasionnels pour les loisirs (de plusieurs fois par semaine à plusieurs fois par mois) : ils utilisent essentiellement le tramway, soit via les bus, soit par les parcs-relais. En cas de nouveau choc pétrolier, une majorité d’utilisateurs est prête à utiliser les transports en commun à condition d’améliorer un certain nombre de points. 3. Améliorations demandées - une meilleure desserte du quartier par les bus ; - l'augmentation des fréquences des correspondances tramway-bus (lignes 46 vers Toctoucau et 47) : une attente de correspondance de 30 minutes est rédhibitoire ; - une meilleure desserte de la ligne de tramway A à Fontaine d’Arlac avant que le tramway n'arrive à l'Alouette, ou, pourquoi pas, au Bourgailh (proposition de Jean-Jacques Benoît, candidat socialistes aux prochaines municipales) ; - la synchronisation des horaires de la ligne 47 avec les horaires du collège : ce point a, semble-t-il, été amélioré fin novembre ; - une augmentation de la capacité du parc-relais de Bougnard, souvent saturé ; - l'ouverture du parking de Pessac-centre en parc-relais. Y.S. Exposition artisanale L'exposition artisanale du 8 décembre n'a pas attiré le public habituel. On peut trouver plusieurs raisons à cet échec : le mauvais temps n'a pas incité les Magontins à sortir de chez eux, une publicité insuffisante, une saturation de manifestations du même type, un nombre d'exposants en baisse, etc. Le comité de quartier devra s'interroger sur son devenir et s'excuse encore auprès des exposants qu'il remercie d'avoir vécu cet échec avec philosophie. Y.S. |
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